Moon Curse
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Ashlynn Flaherty

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Ashlynn Flaherty
Ashlynn Flaherty
∞ Sorcière ∞ Chamane
Messages : 48
Membre depuis le : 10/03/2019

Ashlynn Flaherty Empty
MessageSujet: Ashlynn Flaherty  Ashlynn Flaherty I_icon_minitimeLun 11 Mar - 1:05


Ashlynn Flaherty
"CITATION LIBRE"


 
1 • IDENTITE

Nom ¤  Flaherty
Prénom ¤  Ashlynn
Surnoms ¤ H, Lynn
Âge réel et physique ¤ 19 ans
Nationalité ¤ Irlandaise
Genre / Orientation sexuelle ¤ hétéro
Son métier ¤ Chamane
Race ¤ Sorcière
Appartenance ¤  
Situation ¤ célibataire
Célébrité ¤ feat. Sofia Black D'Elia
Crédit ¤

 

2 • CARACTERE
Ashlynn est une erreur de casting dans une meute qu’elle voudrait quitter. Trop gentille pour l’univers dans lequel elle vit. Trop soucieuse des autres pour s’épanouir avec cet entourage. Elle a des envies d’ailleurs, se surprend à rêver de fuite et dans environnement qui lui conviendrait mieux. Mais Ashlynn est raisonnable, elle finit toujours par se réveiller, se remettre les idées en place et se souvenir des raisons qui la font rester ici. C’est son père qu’elle protège, c’est sa vie à lui qu’elle préserve alors que la réciproque n’a jamais été vraie. C’est son choix à elle de vouloir le choisir lui, difficile de se plaindre quand on prend conscience de cela.

Elle n’a pas toujours été dans la résilience, elle a voulu luter et se rebeller. Elle a voulu être la fille qui prend en main son destin et qui fait ses propres choix. Toutes ses tentatives ont été avortés, les coups ont été portés pour qu’elle en oublie ses envies d’ailleurs. C’est avec le temps qu’elle a appris à marcher la tête baissée, à acquiescer sans être d’accord, à ne pas faire de vagues. Mais Ashlynn est une Irlandaise, avec un caractère qui sait se faire prononcer. Si elle a cessé de luter pour elle, la sorcière reste incapable de se taire pour les autres. Elle peut accepter beaucoup de choses quand ça la concerne et monter vite en pression quand c’est pour une autre personne qu’elle plaide. Elle sait parler fort, regarder droit dans les yeux avec défiance et s’énerver. Les répercussions ne la font jamais regretter parce qu’elle sait qu’elle était dans son droit, qu’elle défendait ses convictions en voulant aider.  

Il y a pleins de choses qu’elle ne sait pas, surtout quand quelqu’un est sympa avec elle. C’est étrange pour elle, c’est nouveau et inhabituel. Elle ne sait pas comment y réagir, pouvant mettre être assez septique et méfiante au début. Personne n’est gentil sans raison, pas dans cette meute en tout cas. Mais cette meute c’est son monde depuis qu’elle a dix ans, Ashlynn ne connait pas d’autres modes de fonctionnement. Alors des fois, elle parait paumée, ne pas savoir quoi dire ou réagir de manière complètement à côté de la plaque. A cela, il faut ajouter le fait que c’est une piètre menteuse. Trop expressive, trop spontanée, Ashlynn n’est pas douée pour inventer des histoires crédibles. Tout son être semble clignoter dans tous les sens pour avertir qu’elle ment.

Ses états d’âmes n’ont jamais intéressé personne alors, par habitude, Ashlynn ne parle pas vraiment d’elle ou de ce qu’elle ressent. Ce n’est pas qu’elle est secrète, c’est seulement une habitude prise avec le temps. Et pourtant, elle est capable de parler… Beaucoup… Pour rien.

 

 

3 • PARTICULARITES

Avis sur les surnaturels ¤
Elle adore, aime, les loups. C’est plus fort qu’elle, c’est dans sa nature, dans ses gènes, dans ce qu’elle est. Ashlynn ne peut pas vraiment s’empêcher de les aider quand ils vont mal et pourtant, elle aimerait que ce ne soit pas toujours le cas. Elle aimerait pouvoir être capable de se mettre en grève, d’en assumer les conséquences, juste pour prouver que Ces loups-là, elle ne les aime pas. Le pire dans tout cela, c’est qu’elle est persuadée que ça se passe comme cela dans toutes les meutes, parce que c’est ce qu’on lui a appris et qu’on ne lui a pas donné l’occasion de se renseigner ailleurs. Elle aime les loups, pas leur façon de fonctionner.

On lui a dit, répéter, marteler, que les vampires étaient le mal incarné. On lui a dit de ne jamais leur fait confiance, qu’ils étaient mauvais et qu’elle ne survivrait pas face à eux. On lui a tellement rabâché cela que, à défaut de réussir à les haïr, elle en a peur. Fort heureusement, jusqu’à présent, elle n’a jamais eu à se retrouver face à l’un d’eux. Les seuls qu’elle a vu, sont ceux qui ont été capturé et ils n’ont jamais fait long feu dans les cages de cette meute.

Elle aimerait connaitre d’autres sorcières, avoir d’autres avis et d’autres méthodes. Mais on ne lui accorde pas cette volonté alors ça reste juste un rêve, caché quelque part dans son esprit. Mais, elle idéalise peut-être un peu trop cette catégorie de surnaturels.

 Divers ¤
Elle a un accent Irlandais discret mais qui devient très prononcé quand elle s’énerve et qui lui fait bouffer la moitié de ses mots. Bien loin de cet anglais presque parfait des habitants du royaume Uni. xXx C’est une chercheuse. Incapable de se cantonner à ce qu’on lui a appris, elle essaye toujours de nouveaux sorts en essayant de ne pas se faire prendre. Elle veut explorer d’autres horizons, même en magie. xXx On l’entraine depuis ses dix ans alors elle n’est pas une mauvaise chamane mais il reste difficile de se définir quand on ne sait pas de quoi les autres sorcières sont capables. En tout cas, on lui rappelle souvent qu’elle n’est pas si douée que cela, sûrement une façon de la garder sous une certaine emprise.


 


 

4 • HISTOIRE

Je suis une enfant de l’an 2000, parce que ma mère s’est réveillée un matin en disant à mon père que ce serait chouette d’avoir un rejeton pour le nouveau millénaire. Ni l’un, ni l’autre, n’étaient prêts pour avoir un enfant. Je ne suis même pas certaine qu’ils en avaient envie mais voilà, c’était trop classe d’avoir 2000 comme année de naissance selon eux.  Le cycle de la vie aurait pu comprendre que c’était une mauvaise idée, il aurait pu s’enrayer ou même prendre son temps pour passer cette année stupide. Mais non, ma mère est tombée enceinte et j’ai vu le jour en octobre de l’an deux mille. Tout au long de ma vie, quand on demandait à mes parents quand est-ce que je suis née, ils répondaient fièrement « En 2000 ». Je crois qu’ils n’ont jamais retenu la date qui va avec cette année.

Faire un enfant pour une date, tout le monde vous dira que c’est une mauvaise idée. Je confirme ! Mes parents n’étaient pas faits pour être parents. Ils étaient trop jeunes, ou du moins, trop immatures. Les responsabilités ce n’étaient pas pour eux, la vie se vivait au jour le jour sans contraintes, ni obligations. Je ne peux même pas leur en vouloir, ils ne m’ont pas eu pour me pourrir la vie mais seulement parce qu’ils étaient trop bêtes pour comprendre tout ce qu’un enfant pouvait impliquer. Je ne peux même pas dire qu’ils m’ont détesté, c’est même l’inverse. Ils m’aimaient… A leur manière, sans règles, sans cadre et sans autorité. En tout cas, je suis sûre de cela en ce qui concerne mon père. Ma mère, elle, a décidé de se casser quand j’avais 8 ans. Soi-disant que la vie de famille ce n’était pas fun, trop règlementée et avec beaucoup trop de pression sociale. Vous comprenez bien, aller à des réunions scolaires et affronter les réflexions des autres mères, c’était trop dur !

Je suis restée avec mon père et ses imperfections. Il a fait ce qu’il a pu, je crois. Fallait que je me démerde mais il savait être cool. Le problème c’est que, du haut de mes huit ans, je ne me suis pas demandée comment mon père pouvait avoir de l’argent alors qu’il ne travaillait pas. J’aurais dû m’interroger. La réponse, même si je ne l’ai pas comprise tout de suite, je l’ai eu deux ans plus tard. J’allais avoir dix ans, je me sentais grande parce qu’il y aurait bientôt deux chiffres à mon âge, quand un homme est arrivé dans notre petite maison en Irlande. Je me souviens encore avoir bloqué devant lui, la bouche ouverte, incapable de comprendre ce que je ressentais en sa présence. « C’est l’heure » qu’il a dit alors que j’ai vu mon père devenir livide. Il n’a pas repris ses couleurs quand il s’est tourné vers moi pour me dire de faire ma valise parce que je devais partir avec cet homme. Je n’ai pas voulu partir mais mon père m’a expliqué que je n’avais pas le choix, que c’était comme ça et surtout que c’était prévu depuis longtemps. Je n’ai rien capté moi mais je suis quand même partie. On ne m’a pas vraiment demandé mon avis.

La transition a été très difficile. Là où je vivais seule avec mon père et où j’allais à l’école, je me suis retrouvée à vivre avec plein de gens sans jamais sortir de ce cadre. Une meute, voilà ce qu’on m’a expliqué alors que je n’y comprenais pas grand-chose. Les années qui ont suivi étaient qu’une succession d’apprentissage. J’en ai bouffé des bouquins sur les plantes, des histoires sur les loups et la mode de fonctionnement d’une meute. De celle-là en particulier. On m’a dit que j’étais une sorcière liée aux loups, que je devais apprendre à connaitre et maitriser mon pouvoir. Pour m’aider, il y avait cette vieille femme qui était la chamane de la meute pour m’apprendre tout ce qu’elle savait. Mais tout ça ne pouvait pas durer éternellement.

J’ai été studieuse parce que, naïvement, je pensais que si on était content de moi alors je pourrais rentrer chez moi. J’ai écouté, pratiqué, appris tout ce qu’on me disait. Et puis j’ai eu quinze, l’âge de la rébellion où on est persuadé d’être plus fort que tout le monde et surtout plus malin. J’ai dit que j’en avais marre, que je n’aimais pas leur méthode et que cette meute n’était pas famille. J’ai voulu partir aussi, sans leur demander leur avis… On ne m’a jamais laissé faire et c’est à ce moment-là que j’ai su.

La vieille chamane de la meute, qui touche doucement à sa fin, se trouve être ma grand-mère paternelle. Elle en veut même aux dieux de lui avoir donné un garçon comme seul héritier parce qu’il aurait été incapable de prendre sa place. Quand elle a su que son fils avait donné naissance à une petite fille, c’est là qu’un deal avait été mis en place. C’est la meute qui paye le train de vie de mon père, qui fait en sorte qu’il ne manque de rien et que, sans eux, il ne s’en sortirait pas. Trop irresponsable. Et en échange de tout cela : moi. On me récupérait assez tôt pour faire mon éducation, sûrement pour me conditionner à l’image de cette meute aussi (je crois qu’ils ont foiré cette partie) afin que je puisse reprendre la place de ma grand-mère.

Je suis quand même partie… Et avec le recul, je me dis qu’on m’a laissé faire parce que tout le monde savait très bien ce qu’il se passerait. J’ai tenu six mois avec mon père, avant que des types pas clairs commencent à débarquer à la maison, et ce n’était pas pour prendre le café. Mon père voulait garder ses habitudes sans avoir à travailler alors, voilà, il avait contracté des dettes à droite et à gauche en se mettant dans des situations délicates. J’ai pris peur le jour où il s’est vraiment fait passer à tabac pour ne pas rendre de l’argent, vraiment, j’ai cru qu’ils allaient le tuer… C’est là que je suis retournée auprès de la meute pour que les dettes de mon père soient réglées, que les choses redeviennent comme avant contre la promesse de rester avec eux.

Je crois êtes une bonne chamane parce qu’on ne m’a pas lâchée avec cet apprentissage depuis mes dix ans. Mais j’ai du mal à me sentir bien dans cette meute. Je n’aime pas leurs méthodes, ni leurs envies de conquêtes. Je n’ai jamais réussi à comprendre en quoi c’était bien de mordre des gens qui n’ont rien demandé. En quoi c’était bien de soumettre des gens par l’intimidation et les menaces. Je fais mon boulot parce que je n’ai pas le choix mais, silencieusement, c’est ailleurs que je voudrais être. Je n’en parle pas, je continue de sourire, de dire que tout va bien. Je fais en sorte qu’on ne se doute pas que j’ai des envies de fuite pour que mes conditions ne soient pas pires qu’elles le sont déjà. Mes libertés sont limitées, elles le sont encore plus depuis que ma grand-mère est morte quand j’avais 17 ans, et que je suis la seule chamane de la meute. A chaque fois que je me dis que je vais fuir, que je monte un plan, il y a l’image de mon père qui me revient… Et mes envies qui s’envolent.

 
derrière l'écran

Pseudo ou Prénom¤ chouquette Parle nous un peu de toi ¤ NON, je ne dirais rien. Même sous la torture ! Ton avis sur le forum ¤On m'a proposé de regarder le scénario, j'ai accroché. Me voilà. Tes disponibilités ¤ C'est aléatoire, tout dépend de l'IRLUn dernier mot ? ¤Je peux avoir des cookies ?


 
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