Jess' Evans - Du combat, seuls les lâches s'écartent
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❝ Séléna Blanc ❞
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Sujet: Jess' Evans - Du combat, seuls les lâches s'écartent Lun 11 Mar - 13:38
Jessica Evans "Du combat, seuls les lâches s'écartent"
1 • IDENTITE
Nom ¤ Evans Prénom ¤ Jessica Surnoms ¤ Jess', Jessy Âge réel et physique ¤ 27 ans Nationalité ¤ Anglaise Genre / Orientation sexuelle ¤Hétéro Son métier ¤ A la recherche d'un emploi de couverture. Mais est membre de l'unité en infiltration chez les Vengeurs. Tout un programme. Race ¤ Humaine. Appartenance ¤ Unité 101 Situation ¤ Célibataire Célébrité ¤ feat. Lyndsy Fonseca Crédit ¤ Je sais pas
2 • CARACTERE
Jessica a un esprit analytique, ce qui fait d’elle quelqu’un de très méthodique et le sentiment entre très peu en ligne de compte. Elle n’a rien d’une sociopathe. Jess est capable d’avoir des amis et de les apprécier réellement, c’est pour cette raison que les pertes lors de la Saint-Patrick ont été douloureuses pour elle. Mais, si le choix s’était présenté entre faire son boulot en sauvant un membre de l’unité et sauver un de ses proches alors, c’est l’unité qu’elle aurait choisie. Jess pense sincèrement œuvrer pour une bonne cause et si perdre un proche est tragique, elle sait aussi travailler pour un projet bien plus grand qu’une seule personne. C’est une personne qui résonne toujours avec logique plus qu’avec ses sentiments.
Jusqu’à présent, Jessica est très loyale envers son travail. Ce n’est pas le membre qui risque de poser de problème dans la mesure où elle croit à ce qu’elle fait. Ça ne l’empêche pas d’avoir des activités à côté, de tuer des surnaturels de son côté. Il faut bien qu’elle se venge des pertes qu’elle a subies, non ? Elle est peut-être un peu rancunière. Personne n’est parfait et, des défauts, Jessica en a pas mal. Déjà elle passe son temps à jurer ou à sortir des insultes. Elle ne supporte pas qu’on cherche à lui marcher sur les pieds et à tendance à réagir au quart de tour quand on vient l’emmerder. Si vous ne comprenez pas un premier « non », vous risquez fortement de vous retrouver la tête encastrée dans un mur si vous insistez.
Son plus gros défaut reste le mensonge. Elle ne joue pas à la fille qui est secrète sur sa vie, elle ment. Toute sa vie civile est un énorme mensonge qu’elle maitrise très bien. Jessica c’est tout à fait le genre de personne capable de vous regarder droit dans les yeux et de vous sortir le plus gros mensonge de sa vie sans même ciller une microseconde. Cacher ses activités, elle le fait depuis tellement longtemps que c’est devenu une seconde nature.
A côte de ça, Jessica peut se montrer joviale même si ce n’est pas sa nature première. En revanche, elle est assez taquine et essaye de ne jamais louper une occasion de balancer une pique. Ce n’est pas bien méchant, si ça l’était vous le sentiriez très vite dans son attitude et le timbre de sa voix. Elle est assez joueuse, bien que son esprit analytique lui empêche souvent de faire la différence entre le premier et le second degré quand on lui parle.
3 • PARTICULARITES
Avis sur les surnaturels ¤ Quand depuis l’âge de cinq ans on vous explique que c’est un vampire qui a tué votre mère. Que depuis ce même âge, on constitue un mur de preuves dans le salon, on apprend vite à détester ces êtres. Une fois les yeux ouverts sur les vampires, il devient moins compliqué de les ouvrir aussi sur le reste des surnaturels parce qu’on fait un peu plus attention aux évènements étranges. Les gens qui ne savent pas se contente de se dire que c’est bizarre mais, quand on sait… ça n’a rien de bizarre, c’est surnaturel. Alors on ressort tous ses livres, on revoit tous les films et les séries qui traitent du sujet et on fait des essais avec ce qui ressort le plus. On apprend que l’argent est réellement efficace sur les loups, que l’eau bénite fonctionne. On repassera pour l’ail en revanche.
Jessica a seulement eu l’avantage de savoir que rien n’était impossible sur l’existence d’un autre monde, les certitudes sont venues quand elle a pu voir certains êtres de ses propres yeux. Avant de connaitre l’unité, ses armes ont été faites ou modifiées à force d’essais sur le terrain, et au coût de quelques cicatrices. Son opinion sur ces êtres n’était déjà pas bien glorieuse quand elle était jeune et ça ne s’est pas arrangé depuis son entrée dans l’Unité 101. Autant dire qu’elle n’a pas de considération pour tous ses êtres qui sont, selon elle, des erreurs de la nature.
Divers ¤ Jessica a été entrainée depuis qu’elle est en âge de tenir debout. Des entrainements qui se sont intensifiés avec l’âge et qui sont devenus des cas pratiques très rapidement. C’est son père qui s’est chargé de cette éducation, encore lui qui lui a appris à se servir des armes à feu et plus spécifiquement d’un fusil sniper. Rôle qu’il avait quand il était encore dans l’armée. Et si elle est jeune, c’est aussi ce qui en fait une force. On ne se méfie jamais vraiment d’une personne de son âge.
C’est pour cette éducation particulière, ses compétences et cette façon d’analyser son environnement qu’elle a été recrutée par l’Unité. Trois ans de formation avec eux ont permis de combler quelques lacunes sur les surnaturels et lui avait permis d’apprendre à se servir d’armes plus spécifiques. Et si la plupart des agents sont envoyés dans des équipes dont le but est de capturer des surnaturels, Jessica est envoyée dans une autre section. Des captures, elle en a fait mais le rôle de sa section est surtout de se débarrasser des surnaturels – ou des agents – qui pourraient poser problèmes. Ils sont aussi là pour faire un appui lors de grosses missions, un peu à l’image de la Saint-Patrick où les agents chargés de capturer les Alpha étaient appuyés par des snipers.
Nombreuses cicatrices, essentiellement cachées par des vêtements X Un tatouage sur le bas de la nuque X Jure très souvent X
4 • HISTOIRE
« Jess, surveilles tes appuis ! » La chute est lourde, le coup violent. Jessica, du haut de ses sept ans, sert les dents en portant une main sur ses côtes pour ne pas pleurer. Il n’aime pas quand elle pleure ou quand elle fait des erreurs stupides pendant leurs entraînements intensifs. Il n’aime pas grand-chose quand ils sont dans ce sous-sol à enchainer les exercices. « Relève-toi ! » L’ordre claque sans tendre une main dans sa direction pour l’aider alors elle se relève difficilement, douloureusement et remet ses poings serrés devant elle. Second round…
« Ça suffira pour aujourd’hui. » Jess est une nouvelle fois au sol, les yeux clos elle essaye d’entendre une note d’approbation dans les quelques mots qu’il prononce, une petite intonation qui prouverait qu’il est un peu fier d’elle. Rien. Ça fait deux ans qu’elle n’entend plus rien dans le timbre de sa voix, qu’elle ne voit plus rien dans ses gestes ou dans son regard. Deux ans qu’il donne l’impression de s’être éteint pour toujours, verrouillant la partie de son cœur qui lui donnait accès à des sentiments. Il s’est fermé. Elle espère voir une petite flamme se rallumer chez lui, mais elle sait que ça n’arrivera pas. Elle l’a perdu il y a deux ans et malgré les efforts qu’elle essaye de faire pour le rendre fier, pour décrocher un sourire, elle sait que ça n’arrivera pas. A croire que tout ce qui faisait de lui un père a été enterré en même temps que le corps de sa mère deux ans plus tôt.
C’est cinq bonnes minutes qu’elle attend avant d’ouvrir les yeux à nouveau dans un soupir. Se relever est compliqué mais elle ne se plaint, même quand il n’est pas dans la même pièce, Jessica garde cette habitude. Ses genoux sont douloureux quand elle monde les marches pour arriver au rez-de-chaussée de cette grande maison vide. Les Evans ont cessé de recevoir du monde ici, le mur principal du salon est devenu une énorme mosaïque. Des photos de crimes et de personnes, des notes écrites sur des bouts de papier et des articles de journaux, des jours et des lieux, … Le tout relié par des fils de laine de différentes couleurs. Jessica bloque devant l’ensemble, encore une fois et, si ce n’est pas adapté à une enfant de son âge, elle connait tous ces éléments par cœur. « Je trouverais le monstre qui a tué ta mère. » Il veut dire vampire, mais s’il est persuadé de cela, le mot n’arrive toujours pas à sortir. Le surnaturel c’est une idée un peu trop folle qui n’existe que dans les livres et à la télévision. Jessica ne sait pas quoi en penser, elle a imagination fertile à son âge et rien ne lui semble vraiment impossible. Elle a surtout envie de lui dire de s’occuper d’elle plutôt que de partir à la chasse aux montres, mais ça ne sert à rien. « Je sais… » qu’elle répond doucement avant de quitter la pièce. Se doucher, soulager ses blessures et préparer ses affaires pour le lendemain parce qu’il faut bien qu’elle aille à l’école.
(…)
Tout est une question de maths, de statistiques et de probabilité. Jessica s’avère être très douée pour voir les choses en analysant son environnement, son cerveau semble être capable d’envisager plusieurs possibilités afin qu’elle puisse choisir ce qui parait être la meilleure option possible. Pédaler à fond dans les rues de la capitale, préférer contourner une voiture par la droite plutôt que la gauche pour éviter une portière qui va s’ouvrir le bas-côté… Tous ces petits choix en fonction de l’environnement, Jessica les fait de manière presque instinctive. S’installer sur un toit plutôt qu’un autre, calculer la déviation de l’air en fonction de sa densité et du vent alors qu’elle regarde à travers la lunette d’un fusil de sniper, c’est comme une seconde nature. Elle calcule, envisage les différentes probabilités à une action, mesure ses chances de réussite. Son cerveau est analytique ce qui n’est pas étonnant quand, depuis l’âge de cinq, on lui apprend à faire attention à tout ce qui l’entoure. Ça a même commencé bien avant ça. Jessica c’est une fille de deux parents militaires qui, dès le plus jeune âge, on cherche à lui apprendre des valeurs et les différentes façons de se défendre. L’apprentissage était doux, aimant et encourageant. On ne voulait pas qu’elle apprenne à se battre, on voulait lui apprendre à se défendre, défendre les autres et des causes justes auxquelles on croit. On voulait faire d’elle une bonne personne, celle qui a le sens du devoir, de la patrie et de l’altruisme.
Un entrainement et une envie qui avaient dévié à la mort de sa mère. Les circonstances étaient troublantes, la police parlait d’un tueur en série se prenant pour un vampire. Il y a des tarés partout, c’est ce qu’on leur avait dit. Le père de Jessica n’avait pas supporté cette mort et c’était lancé dans ses propres recherches. D’abord en se servant de la base de données dont il disposait en tant que militaire, jusqu’à se faire virer. Sa fille, il avait cessé de vouloir en faire une bonne personne. Il réclamait justice et s’il devait échouer, il fallait assurer la relève chez cette môme qui lui rappelait tant sa femme. Tant pis pour le patriotisme quand il était certain que des forces obscures se montraient bien plus menaçantes qu’un canon sur un champ de bataille. Tant pis pour le sens du devoir quand la justice se montre incapable de faire face à cette menace invisible. Tant pis pour l’altruisme depuis que c’était devenu une vendetta personnelle.
(…)
« Vous êtes consciente qu’il est à l’hôpital ? » Jessica à dix-sept ans quand elle hausse un sourcil sur le flic qui s’énerve devant elle. « C’est mieux que la castration à mains nues, non ? » Elle sait parfaitement dans quel état elle a laissé ce gars. Elle sait parfaitement qu’il est exactement dans l’état dans lequel elle a bien voulu le laisser. Deux fois, au cours de ces quinze derniers jours, elle lui a dit de cesser de lui mettre une main au cul alors qu’elle attrapait des cahiers dans son casier. Jessica s’est même trouvée très patiente. La troisième fois avait été celle de trop. Les coups avaient fusé avec une précision impressionnante pour une fille de son âge, ses « exploits » avaient été filmés et envoyer sur les réseaux sociaux. Et voilà comment elle se retrouve sur une chaise, avec une table entre elle et un policier. « Les parents portent plainte, vous ferez moins la mal… » La porte s’ouvre brusquement pour laisser entre deux hommes. « Qu’est-ce que vous foutez, vous n’êtes pas autorisé à entr… » On lui dit de se taire avant d’agiter un papier sous son nez. « On la récupère. » Un des types fait signe à un des flics pour qu’on retire les menottes, surtout là pour le côté impressionnant, de Jessica. « Non mais attendez, elle une plainte sur le dos, vous ne pouv… » Une fois de plus, le policier se fait interrompre. « En fait, non. Il n’y a plus aucune plainte contre elle. » c’est un clin d’œil qu’elle lance au policier en se faisant sortir par ces deux autres types.
Deux heures plus tard, c’est dans le même type de pièce qu’elle est enfermée et assise à une table. Pas de menottes cette fois, elle a même un verre d’eau et les types se montrent étrangement sympathiques… Jusqu’à ce qu’ils finissent par balancer un dossier devant elle. Son dossier. « On sait très bien qui vous êtes Mademoiselle Evans. » Elle parcourt quelques pages où il est question du meurtre de sa mère, du métier qu’elle exerçait et de son père qui a été viré de l’armée. Jessica hausse les épaules. « Rien de bien exceptionnel. » Elle s’apprête à repousser le dossier dans la direction de l’homme quand il l’encourage à aller plus loin. Ses études et ses notes y sont consignés. Les gens qu’elle fréquente aussi. Jess garde pour elle ce sentiment désagréable d’avoir été épiée et tourne une nouvelle page qui la fait se figer un instant. « Comment… » Sur cette page et les suivantes, il y a des photos et des noms. Des gens qui ont été tués par elle. Les entrainements avec son père avaient quitté leur sous-sol pour devenir bien plus réels. « Je vous l’ai dit, on sait exactement qui vous êtes. » Il sort finalement une petite pochette en plastique avec une balle à l’intérieur qu’il pousse sur le centre de la table. « On pourrait se demander se demander comment une fille, à 16 ans, se retrouve à tirer sur un homme du haut d’un toit. Mais, ce qui m’intéresse surtout c’est pourquoi vous avez utilisé une balle en argent. » Jessica se met à sourire. « C’est quand même beaucoup plus girly, vous ne trouvez pas ? »
(…)
Jessica a vingt ans quand on l’autorise à remettre les pieds dehors comme elle le veut. C’est trois ans qu’elle vient de passer auprès d’agents du gouvernement, de ceux qui l’ont recruté. Trois ans d’entrainements et de perfectionnements avec des armes nouvelles, plus à la pointe de la technologie et surtout bien plus adaptées aux cibles qu’elle traque. Trois ans de missions faites sous le couvert d’instructeur, où il n’a jamais été question de sortir pour faire du shopping ou un peu de tourisme. Sa vie, Jessica a dû la mettre entre parenthèse, c’est le gouvernement qui en a eu toute la gestion sur cette durée. L’unité 101 pour être exacte. Une unité secrète qui s’intéresse aux surnaturels.
« Evans ? » Elle referme sa valise avant de se tourner vers l’homme dans l’encadrement de la porte de sa chambre. « Tiens, ce qu’on t’avait promis. » Elle s’avance pour prendre le dossier qu’il lui tend, sans l’ouvrir pour autant. « Tu ne vérifies pas ? » Elle lève le regard sur lui. « Je devrais me méfier ? » Il sourit avant de se décoller de l’encadrement. « Lundi, 8h. Ne soit pas en retard. » Elle enfonce le dossier qui contient le nom du vampire qui est responsable de la mort de sa mère dans sa valise et la boucle pour de bon. A partir de maintenant, elle était libre d’avoir son appartement, d’avoir une vie… A la seule différence que son boulot consistait de travailler pour l’unité 101 et que ça n’a rien de vraiment conventionnel !
(…)
Ça fait cinq ans que Jessica mène une double-vie. Il y a des contraintes et des mensonges envers l’entourage qu’elle se construit doucement, mais elle estime que ça vaut le coup. Elle n’est pas spécialisée dans une race plus qu’une autre dans son travail, elle n’est même pas de ces agents qui sont chargés de ramener des surnaturels dans les locaux de l’unité. Jessica c’est une sorte de nettoyeuse, on l’envoie quand un surnaturel doit trouver la mort ou quand un agent pose trop de problèmes. L’avantage c’est qu’on la laisse faire ce qu’elle veut de son temps libre et, si elle se sait surveillée, Jessica se dit qu’on ne lui dira rien tant qu’elle ne dépasse pas certaines limites. Tuer, ça reste ce qu’elle sait faire de mieux alors, est-ce bien étonnant si elle s’accorde quelques missions personnelles ?
Le 18 mars 2018 certains de ses amis s’amusent à la Saint-Patrick. Jessica a laissé entendre qu’elle n’avait pas digéré le repas de la veille et, ne se sentant pas dans son assiette, elle préfère rester chez elle. Pourtant, à l’abri des regards et des nombreuses caméras de la ville, c’est sur un toit que Jessica se trouve. Ce soir, elle est un des soutiens à distance des équipes de l’unité 101 qui seront au sol. C’est de là-haut qu’elle voit les évènements dégénérés, qu’elle voit des loups se transformer pour attaquer tout le monde. L’envie de descendre et d’agir se fait sentir mais elle ne doit pas laisser ses émotions prendre le pas sur sa mission. Des balles, elle en a tiré. Beaucoup. Beaucoup plus que ce qui était prévu à la base. C’est les gens de l’unité qu’elle a préservés en premier pour qu’ils puissent attraper les alphas visés mais, d’autres balles ont servi à aider qui elle pouvait.
Cette nuit-là, la mission a été un franc succès. Pas de perte à déplorer du côté de l’unité et des alphas récupérés. Cette nuit-là, le monde vient d’apprendre l’existence des surnaturels. Cette nuit-là, beaucoup de personnes ont perdu des amis et des proches. Cette nuit-là, Jessica a perdu trois de ses amis et son père… Sous les crocs de loups qui n’ont pas su se maîtriser. Et c’est sûrement cette soirée qui a fait que, de manière personnelle, Jessica prend beaucoup plus de cibles chez les loups que chez les autres races.
(…)
« Tu restes la mieux placée pour ce genre de mission. » Jessica inspire pour ne pas s’énerver davantage. « Pourquoi, parce que je peux justifier de pertes durant la Saint-Patrick ? » Six mois se sont écoulés depuis les faits. Le temps n’atténue pas spécialement la douleur mais, au moins, ça le rend encore plus efficace dans son travail. « Et parce que tu es apte à entrainer des gens. » Elle sait qu’elle n’a pas le choix mais ça ne l’empêche pas de ne pas être d’accord avec cette idée. Jessica claque la porte parce qu’elle sait que, maintenant, sa vie va prendre encore un nouveau tournant. A partir de maintenant, elle va devoir se faire passer pour une civile. A partir de maintenant, Jessica va devoir se trouver un emploi en couverture, se faire une vie sur les réseaux sociaux et différents forums. Maintenant, elle va devoir se faire passer pour une victime de la Saint-Patrick qui veut sa vengeance. Et c’est en faisant tout cela que, un mois plus tard, on la contacte pour rejoindre une sorte d’organisation – pas du tout organisée – qui se fait appeler les vengeurs.
Aujourd’hui alors que de nombreux changements se font entendre dans le monde du surnaturel, Jessica est une membre des vengeurs. En réalité, c’est une membre de l’unité en infiltration chez les vengeurs. Elle est surtout chargée d’entrainer ces humains qui veulent se battre contre les surnaturels et monter des plans d’attaques. Ça prend du temps avec eux, les humains ne sont pas préparés à cette guerre. Alors, pendant son temps libre, Jessica continue une traque personnelle contre des loups responsables de la mort de ses amis, et des gens présents.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Pseudo ou Prénom ¤ Jess ira très bien. Parle nous un peu de toi ¤ Non, je n'ose pas. *est pudique* Ton avis sur le forum ¤ J'ai trouvé le forum via une pub sur facebook, dans une masse d'autres pubs. Le design et le contexte ont suffi à me faire craquer. Ce n'est pas bien. Tes disponibilités ¤ Je ne suis pas une grande floodeuse dans l'âme. Je suis ne suis même pas une membre très intéressante parce que j'ai tendance à me connecter uniquement quand j'ai des réponses ou des messages. Bref, quand j'ai une notification qui nécessite une réponse. Un dernier mot ? ¤ Bravo pour le boulot sur ce forum, et pour l'accueil.