Moon Curse
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilRechercherDernières imagesMembresS'enregistrerConnexion
-28%
Le deal à ne pas rater :
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G Double Sim 128Go ...
389 € 539 €
Voir le deal

Partagez

April Blackwood

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage

April Blackwood
April Blackwood
☠ Vampire ☠
Solitaire
Messages : 33
Membre depuis le : 10/03/2019

April Blackwood Empty
MessageSujet: April Blackwood  April Blackwood I_icon_minitimeDim 10 Mar - 20:02


April Blackwood
"Save one life. Save the world."


1 • IDENTITE

Nom ¤  Blackwood, bien qu’elle se présentera sous le nom de Sullivan, le seul qu’elle connaisse.
Prénom ¤  April
Surnoms ¤ Ap’ ou « le boulet » pour les intimes
Âge réel et physique ¤ 50 ans, 27 ans physiquement
Nationalité ¤ Américaine
Genre / Orientation sexuelle ¤ Hétéro
Son métier ¤ Infirmière
Race ¤ Vampire
Appartenance ¤  Solitaire pour l'instant
Situation ¤ Célibataire
Célébrité ¤ feat. Jessica De Gouw
Crédit ¤ Bazzart


2 • CARACTERE
Qui a dit que vampire rime avec monstre et sans cœur ? Ces personnes-là se trompent mais s’ils le croient, ils n’ont qu’à donc venir me voir. Je ne suis pas une femme qui méprise ceux qui peuplent ce monde, je suis plutôt de ceux qui veulent préserver la paix et protéger des vies. Je ferais honte à mes parents et à tout ce qu’ils ont construit si je me mettais à détester les Hommes et à tuer juste parce que je le peux. On me dit trop gentille, parfois même naïve, je l’ai été c’est vrai, peut-être le suis-je encore un peu aujourd’hui, mais ne vous méprenez pas, je ne me laisserai pas non plus manipuler par le premier venu. Plus aujourd’hui.

Ce qu’on remarque avant tout chez moi, c’est cette joie de vivre. On pourrait croire que je n’ai jamais connu le malheur, là encore vous vous méprenez. Mais à quoi rimerait l’éternité si c’était pour la passer à être triste et en vouloir au monde entier ? Personne ne changera ce que je suis, ce que mes parents m’ont inculqué, pas même avec tous les efforts du monde, pas même en me brisant. Je combattrai les hypocrites avec ma franchise. J’aiderai les dépressifs avec mon optimisme. Je porterai secours à ceux dans le besoin. Voilà le genre de femme que je suis. Alors dites-moi, est-ce qu’être vampire fait réellement de moi un monstre ?

Je ne le nierai pas, il y a une part d’ombre en moi, mais n’est-ce pas le commun de tout être vivant ? Il y a toujours ce vide dans mon cœur que je n’explique pas. Certaines nuits il m’arrive de douter. Certaines fois il m’arrive d’avoir envie de tuer. Il me suffit de repenser au visage de mes parents pour chasser ces pensées. Ce sont eux qui me donnent ma force et mon courage. Ce sont eux que je continuerai de rendre fier jusqu’à ce que la mort m’emporte.




3 • PARTICULARITES

Avis sur les surnaturels ¤ On pourrait croire qu’être un vampire est une malédiction, honnêtement j’y ai songé au début, d’autant que ma transformation n’était pas voulue et que ce n’était pas tellement compatible avec mon métier. Puis je me suis rendue compte qu’être vampire avait du bon, comme continuer de faire du bien à la planète et ses habitants encore de nombreuses années. En fait je ne vois pas de problème au surnaturel en soit, il y a après tout de bonnes personnes et de mauvaises dans chaque espèce. Je n’ai pas non plus de haine envers les loups et sorcières mais prenez garde tout de même, car sous mes airs d’innocente, je sais tout de même me faire respecter et inspirer la peur. Pas crédible ? Allez savoir… Disons qu’aujourd’hui je sais me défendre et n’hésiterai pas à user de moyens extrêmes pour protéger mes proches, même si je suis une pacifiste au grand cœur.

Divers ¤ Je ne tue pas pour me nourrir, pour autant, je ne vais non plus me contenter de poches de sang. Soit je me trouve des humains consentants, soit j'use d’hypnose pour leur faire oublier, dans les deux cas je me dis que je ne fais aucun mal à ma nourriture. • Je sais que j'ai été adoptée, déjà génétiquement parlant, je suis la seule brune aux yeux bleus de la famille, mes parents sont tous les deux blonds aux yeux noisettes et même si ça a pu sauter une génération, j'ai bien remarqué que je ne leur ressemblais pas. Ceci dit ça ne l’a pas empêché d’être heureuse avec eux. • Je suis claustrophobe, donc gare à celui qui s’amuserait à m’enfermer dans un placard à balais.





4 • HISTOIRE

Le 15 septembre 1968, deux bébés sont nés en Californie, un garçon et une fille. Nul ne saura si les jumeaux auraient été fusionnels puisqu’ils ont été séparés à la naissance. Le garçon sera gardé par la famille Blackwood pour en faire le futur héritier, tandis que la fille a été abandonnée, mais peut-être était-ce pour le mieux.

J’ai eu une vie simple et heureuse auprès de ma famille d’adoption. Ils m’ont eu lorsque j’étais bébé, m’évitant le traumatisme de passer en de famille d’accueil en famille d’accueil en ayant la sensation que personne ne voudrait de moi. Eux ont voulu faire de moi leur fille dès l’instant où leur regard a croisé le mien. John et Emilie Sullivan, ils n’étaient pas capables de m’offrir tous les trésors de la Terre, mais ils m’ont offert tout leur amour et ce fut le plus beau trésor à mes yeux. Nous n’étions pas une famille aisée, je n’ai jamais grandi en apprenant les règles de l’aristocratie et les bonnes conduites à adopter en société, je parle de celles qui disent qu’il faut prendre tel verre pour le vin et tel verre pour le rhum par exemple, moi je peux me contenter d’un gobelet en plastique dans les deux cas. J’ai grandi en étant éduquée par les valeurs des Sullivan, la première règle étant que la vie finit toujours par offrir un juste retour à nos actions. Mes parents étaient les premiers à offrir leur argent dans des associations caritatives, sacrifiant l’envie d’acheter un téléviseur en état ou de belles bottines dont les talons seraient bien plus agréables à porter. Tout cela n’était que du matériel à leurs yeux, alors que l’argent pouvait aider d’autres enfants, d’autres familles.

C’est à l’âge de 7 ou 8 ans que j’ai demandé à mes parents pourquoi je ne leur ressemblais pas, me doutant déjà bien jeune qu’un truc clochait. C’est à l’âge de 12 ans qu’ils se sont décidés à m’expliquer que j’ai été adopté, qu’ils n’ont pas la moindre idée de qui sont mes géniteurs mais que j’ai été la plus belle surprise de leur vie. J’ai su alors que ma mère était stérile, d’où le fait qu’elle n’a jamais pu m’offrir de petit frère ou sœur et qu’elle était triste lorsque je le lui réclamais autrefois. Je me souviens avoir serré mes parents dans mes bras et leur avoir dit qu’ils étaient aussi mon plus beau cadeau et que je n’aurais pas pu espérer mieux qu’eux pour m’élever.

Pourtant il y a cette sensation étrange qui a commencé à se creuser en moi, ce vide que je ne parvenais pas à expliquer. Etait-ce dû à mon ignorance de mes véritables origines ? J’ai commencé à chercher, discrètement, ne voulant pas blesser mes parents. Plus j’entrais dans la période de l’adolescence, plus j’avais besoin de réponses. Je n’en ai jamais obtenu, impossible d’avoir ces informations, mes parents s’étaient apparemment assurés que je ne les retrouve jamais, alors j’ai fini par abandonner. Mais ce vide ne disparaissait pas pour autant, il ne faisait que creuser davantage dans mon cœur. J’ai tenté de me réfugier dans les fêtes, ce n’était pas vraiment fait pour moi, alors je me suis refugiée dans les études. Plus mon esprit serait occupé à apprendre, moins je me poserai de questions.

J’ai été tout un tas de choses durant mes années lycées : l’intello, la pote sympa, la "meuf bonne" à mettre dans son lit, oh et le boulet aussi, ce surnom m’a pas mal collé aux basques à cause d’un incident. C’était le jour de l’anniversaire du professeur Anton Jenkins et à l’époque j’étais amoureuse de lui. Pour ma défense il était très jeune pour un prof et sacrément bien foutu ! Puis ses cours étaient passionnants, enfin j’étais surtout fascinée par ses lèvres qui gesticulaient tout un tas de mots savant. C’est sexy un homme qui a ce genre de connaissances. Tout ça pour en revenir à son anniversaire, l’occasion idéale de prendre le goûter et ne pas faire cours. Sauf que j’ai abusé un petit trop de sucreries ce jour-là et ça s’est fini avec moi lui vomissant sur les basques pile au moment où il me faisait le plus beau des compliments. Sauf que ça ne s’arrête pas là. C’est ensuite ma tête qui vient violemment cogner la sienne lorsqu’on se baisse en même temps pour nettoyer. Non je vous assure, ce n’est toujours pas fini. Lorsque je reviens une minute plus tard en courant avec un rouleau entier de papier toilette pour essuyer les dégâts, je me retrouve à faire du patin à glace sur le carrelage et lui rentrer dedans. La chute provoque une hémorragie au prof qui lui a valu quelques jours à l’hôpital et un suivi pour vérifier que son cerveau n’ait pas été endommagé. Autant vous dire qu’Anton n’a plus jamais osé me regarder depuis ce jour-là.

Malgré cette histoire plutôt embarrassante on peut dire que je m’en sors plutôt bien dans la vie. J’étais la première de la classe, j’ai perdu ma virginité avec le plus beau garçon du lycée la nuit où on a fêté la fin des examens et même si ce n’était qu’un enfoiré de première, je n’ai pas regretté cette nuit-là pour autant. Je ne peux pas forcer un homme à m’aimer de toute façon. Je poursuis mes études en médecine, l’idée c’est de finir infirmière et peut-être même médecin par la suite, après tout les mentalités évoluent pas mal sur la place des femmes dans la société.

C’est à l’âge de 24 ans que ma vie bascule, lorsque je le rencontre Lui, celui que je croyais alors être l’homme de ma vie. Il était l’homme parfait, une bonne situation, beau, gentleman, je n’avais rien à lui reprocher. J’ai fini par réaliser trop tard qu’il m’a aimé uniquement parce que je lui résistais, l’homme habituait à avoir tout ce qu’il voulait en un claquement de doigt n’était pas capable de me séduire, moi, une simple femme, et il comptait tout faire pour remédier à ça. Il a bien tenu, un an pour être exact avant que je ne finisse par craquer, avant que je ne sois plus capable de lui trouver de défauts ou d’avoir des reproches à lui faire. Même mes parents l’adoraient. Il était le gendre idéal à leurs yeux, celui capable de rendre heureuse leur fille. Je pense qu’il m’a sincèrement aimé, trop sans doute et cet amour a fini par devenir malsain, un poison.

Je ne m’étais pas rendu compte de sa nature, je n’étais de toute façon pas consciente de l’existence d’autres espèces dans notre monde à cette époque. Il travaillait de jour depuis son appartement et on sortait la nuit, du moins lorsque mes horaires n'étaient pas de nuit. J’ai emménagé chez lui à 26 ans, là non plus je n’y ai pas vu de signe, ses vitres étant anti-UV il avait l’air de parfaitement bien supporter la lumière du jour. J’aurais dû me douter que sa peau froide était étrange, mais j’ai misé ça sur une mauvaise pression sanguine, la faute à la médecine, on a tendance à toujours trouver une explication au surnaturel. Dès l’instant où j’ai emménagé les choses ont commencées à prendre une tournure étrange. Il me demandait de faire moins d’heures pour être plus souvent à ses côtés, il disait même que je pouvais arrêter mon travail, qu’il avait assez d’argent pour m’offrir tout ce que je désirerais, il ne prenait pas en compte que j’aimais vraiment ce boulot même s’il était dur. Puis ont commencé d’autres demandes, comme de ne pas me maquiller sauf pour lui, ont commencé d’autres reproches, comme de ne pas l’aimer assez. Etait-ce le cas ? Je me posais la question.

Le problème venait-il de lui ou de moi ? Difficile de réaliser clairement les choses lorsqu’on se trouve dans ce genre de situation. Je me disais que c’était peut-être bien moi qui ne faisais pas assez d’efforts. J’ai cessé de penser ça le jour où il a levé la main sur moi une première fois. Je savais que j’aurais dû partir cette nuit-là, mais lorsque le lendemain il a fait preuve d’une extrême douceur à mon égard, m’offrant un beau cadeau mais surtout la promesse qu’il ne lèverait plus jamais la main sur moi, je l’ai cru. Lorsqu’il a levé la main sur moi une deuxième fois, j’ai décidé de partir. Il ne m’en aura pas laissé l’occasion. Mon véritable calvaire a commencé à partir de ce moment-là, lorsqu’il m’a gardé prisonnière dans cette pièce sombre et froide. Il était fou, disait qu’il me garderait pour toujours, que je lui appartenais, qu’en tant qu’humaine il pouvait faire de moi son jouet s’il le voulait.

Je n’ai pas réellement songé à ce que l’existence des vampires changerait à ma vie, il fallait que je me concentre sur un plan pour sortir de là. Alors j’ai regagné doucement sa confiance, j’ai fait semblant de l’aimer à nouveau, d’être fascinée par sa nature, de ne vouloir consacrer ma vie qu’à le rendre heureux. Je l’ai manipulé jusqu’à ce qu’il craque et me sorte de là, un cadeau d’anniversaire. Je tente de le tuer cette même nuit et j’aurais réussi, si j’avais su qu’un vampire ne pouvait pas mourir d’un simple couteau planté dans le cœur, car je ne l’avais pas manqué ce cœur, à croire pourtant qu’il n’existait pas. J’ai 27 ans la nuit où je suis sur le point de perdre la vie entre ses mains, et pourtant lorsque je sens mon énergie me quitter, je souris. Je souris parce qu’il a perdu, j’ai réussi à me défaire de son emprise, bien que de manière extrême. Il réalise alors qu’il n’est pas prêt à me perdre et me transforme en vampire cette nuit-là. L'une des pires nuit de mon existence, et pourtant mon corps était habitué à la douleur, mais pas à celle-là.

Cet enfer a duré une année et demie de plus avant qu’il finisse tout bonnement par disparaître, du jour au lendemain. Je n’ai jamais su où il allait mais au plus profond de moi je savais qu’il n’était pas mort, sans doute à cause de ce lien qui relie un Sire à un Infant. Lorsque je fus libre de lui, je ne savais pas si je voulais mourir ou me laisser une deuxième chance. J’avais juste besoin... de revoir mes parents. Mes parents qui ne sont jamais venus me chercher. J’ai compris pourquoi lorsque je les ai revu et qu’ils ne se souvenaient pas de mon existence, laissant un énorme vide en eux. Il m’avait effacé de leurs souvenirs. Cette nuit-là j’ai hurlé de toutes mes forces et pleuré toutes les larmes de mon corps, évacuant toutes ces années à prendre sur moi en une seule fois. Puis j’ai séché mes larmes et pris le premier vol vers l’Angleterre, un choix qui s’est fait au hasard en réalité. Ou peut-être était-ce ma destinée.

Nouveau pays. Nouvelle vie. J’ai eu la chance de côtoyer de bons vampires là-bas, des personnes capables de m’apprendre à contrôler ma soif de sang et ne pas tuer. Je ne voulais pas faire de mal, je ne voulais pas devenir un monstre mais soyons honnête, le sang d’animal ou qu’on récupère dans des poches est immonde. Il m’a fallu un certain temps pour retrouver ma joie de vivre d’avant, pour retrouver ma témérité. On m’a appris à être forte, à ne jamais plus laisser qui que ce soit me faire du mal. On m’a appris à être maître de mon destin. On aurait pu croire que cette expérience m’aurait détruite, la dépression aurait pu me ravager, les souvenirs auraient pu me faire franchir le pas vers le suicide. Il n’en est rien. Etre une femme faible et malheureuse, c’est lui donner l’opportunité d’avoir gagné. Il ne gagnera pas. Les Blackwood ne perdent jamais.


DERRIÈRE L'ÉCRAN

Pseudo ou Prénom ¤ Votre staff revient vous hanter sous un autre visage.
Parle nous un peu de toi ¤ Alors vous avez deviné qui s'est ?
Ton avis sur le forum ¤ Indice : j'aime emmerder Alex.
Tes disponibilités ¤ Et je le ferais souvent.
Un dernier mot ? ¤ Je suis... l'alpha qui le détrônera !


A remplir

Code:
April Blackwood
April Blackwood
Jessica De Gouw • April Blackwood
  


Revenir en haut Aller en bas
April Blackwood
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Alex Blackwood
» Les rps de Nikolaj, April, Henrik, Ariana, Bastian, Liam

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Moon Curse :: Les personnages :: Quelle est votre histoire ? :: Fiches Validées-
Sauter vers: